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paris 25 aout 2013

Joaquin et Marianne un 25 août à Paris

Publié le par ASEREF

Joaquin Vasquez entrait dans Paris le 24 août 1944, soldat de la deuxième db il faisait parti de ces républicains espagnols qui composaient La Nueve. Même si l'histoire offcielle minimise leur rôle dans la libération de Paris, l'histoire au final, même si cela doit prendre du temps retiendra quelques vérités, nous nous y employons.

Marianne, c'est la petite fille de Joaquin. Marianne a été porte drapeau pour les républicains espagnols et bien sûr pour son grand-père ce 25 août 2013 sur le parvis de l'Hôtel de ville de Paris.

Cette photo que nous publions c'est Joaquin et Marianne. C'est le symbole de la continuité de notre combat pour la vérité historique, pour la reconnaissance des républicains espagnols dans leur lutte pour la justice et la liberté.

Joaquin Vasquez entraba en París el 24 de agosto de 1944, soldado de la segunda db hacía partido de estos republicanos españoles que componían la Nueve. Aunque la historia offcial minimiza el papel de los republicanos españoles en la liberación de París, la historia al final, aunque esto sera largo retendrá algunas verdades, nosotros actuamos para esto.

Marianne, es la nieta de Joaquin. Marianne fue abanderada para representar los republicanos españoles y por supuesto para su abuelo este 25 de agosto de 2013 sobre la plaza del ayuntamiento de París.

Esta foto que publicamos es Joaquin y Mariana. Es el símbolo de la continuidad de nuestro combate para la verdad histórica, para el reconocimiento de los republicanos españoles en su lucha por la justicia y la libertad.

Joaquin et Marianne un 25 août à Paris

Publié dans Paris 25 Août 2013

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Retour à Paris en images

Publié le par ASEREF

Merci à Vincent Kervel pour ces très belles photos, merci à Marianne pour les avoir mises en valeur, merci aussi Marianne d'avoir porté fièrement le drapeau des espagnols qui ont lutté pour la liberté de tous

Merci à Vincent Kervel pour ces très belles photos, merci à Marianne pour les avoir mises en valeur, merci aussi Marianne d'avoir porté fièrement le drapeau des espagnols qui ont lutté pour la liberté de tous

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Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le 25 août 2013

Publié le par ASEREF

Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos
Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos
Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos
Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos
Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos
Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le  25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos

Petite fille d'un combattant de La Nueve, Marianne a été porte drapeau à Paris le 25 août 2013; l'occasion de s'entretenir et de rencontrer Anne Hidalgo petite fille de républicain espagnol et première adjointe au maire de Paris. Une rencontre empreinte de fraternité entre descendants de la République espagnole. merci à Vincent Kervel pour les photos

Nous étions hier 25 août 2013 à Paris, pour la deuxième année le drapeau de la seconde République espagnole a flotté sur le parvis de l'Hôtel de Ville nous avons transmis le drapeau à notre porte drapeau cette année, il s'agit de Marianne Vasquez petite fille de Joaquin Vasquez soldat républicain espagnol de la Nueve entré dans Paris le 24 août 1944. L'occasion, lors de la réception officielle après la cérémonie de nous entretenir avec Anne Hidalgo première adjointe au maire de Paris. une rencontre chaleureuse empreinte de fraternité entre descendants de républicains espagnols.

Transmission du drapeau de la seconde République à Marianne Vasquez petite fille de Joaquin Vasquez républicain espagnol soldat de la Nueve qui entra dans paris le 24 août 1944

Intervention d’Eloi Martinez Paris le 25 août 2013 avant la cérémonie officielle de la libération de Taris

II y a juste un an nous étions réunis ici même pour rendre hommage aux soldats de la Nueve qui entrèrent dans Paris le 24 août 1944. Pour la première fois depuis 68 ans le drapeau de la Seconde République espagnole a flotté sur le parvis de l’Hôtel de Ville lors de la cérémonie officielle de la libération de Paris. Nous avons obtenu cette première reconnaissance des républicains espagnols par la ténacité de nombreuses associations mémorielles françaises et espagnoles et grâce à une lettre adressée au maire de paris accompagnée de près d’un millier de signatures.

En ce 25 août 2013 notre drapeau flottera à nouveau lors de cette cérémonie comme il devra désormais flotter chaque 25 août. En 2014 ce sera le 70ème anniversaire de la libération. Faisons en sorte tous ensemble à nouveau, pour que le rôle des républicains espagnols dans la résistance, dans l’armée française et partout où ils ont lutté pour la libération de la France ne tombe pas dans les oubliettes de l’histoire. Nous solliciterons la ou le futur maire de Paris qui sera élu en 2014 pour que cette année anniversaire soit l’occasion de rendre un hommage officiel aux républicains espagnols comme nous le demanderons à nouveau aussi au Président de la République.

Continuons à demander vérité, justice, reconnaissance et réparation ici en France pour les républicains espagnols comme le font les associations espagnoles pour les victimes du franquisme en Espagne. Nous assurons ces associations de toute notre solidarité active pour mettre fin à l’impunité des crimes du franquisme.

L’année dernière j’ai eu l’honneur d’être le premier porte drapeau depuis 68 ans, aujourd’hui c’est avec beaucoup d’émotion que je transmets à Marianne notre drapeau de la seconde République espagnole ce 25 août 2013 pour qu’elle le porte fièrement sur le parvis de l’Hôtel de Ville tout à l’heure. Marianne est la petite fille de Joaquin Vasquez qui était l’un des soldats de la Nueve qui entra dans Paris e 24 août 1944. Je sais l’émotion qui est la sienne. Marianne nous pensons très fort à Joaquin ton grand-père et à tous les combattants républicains espagnols qui ont lutté en Espagne et en France contre le fascisme à tous ceux morts au combat ou en déportation. Merci à toi d’avoir accepté d’être là aujourd’hui pour les représenter et les honorer.

Eloi Martinez Porte drapeau des républicains espagnols lors de la cérémonie de la libération de Paris le 25 août 2013. Président de l’Association pour le Souvenir de l’Exil Républicain Espagnol en France (ASEREF)

Associations organisatrices : Amis des Républicains de la RP ; ASEREF ; Ay Carmela ; MERR32 ;MHRE-89

Intervención de Eloi Martínez el 25 de agosto de 2013

Hace justo un año estábamos reunidos aquí mismo para rendir homenaje a los soldados de la Nueve que entraron en París el 24 de agosto de 1944. Por primera vez desde hacía 68 años, la bandera de la II República ondeó en la esplanada del Ayuntamiento de París durante las ceremonias oficiales de la liberación de París. Obtuvimos este primer reconocimiento de los republicanos españoles gracias a la tenacidad de numerosas asociaciones francesas y españolas y gracias a la carta dirigida al alcalde de París acompañada con casi mil firmas.

Este 25 de agosto del 2013 nuestra bandera va a ondear de nuevo durante estas ceremonias como debería ondear de ahora en adelante el 25 de agosto. En 2014 se conmemorará el 70 aniversario de la Liberación. Actuaremos de nuevo todos juntos para que el papel de los republicanos españoles en la Resistencia, en el ejército francés y por todas partes donde lucharon por la liberación de Francia no caiga en el olvido. Solicitaremos al alcade (o a la alcadesa) de París elegido en 2014 para que ese año aniversario sea la ocasión de rendir un homenaje oficial a los republicanos españoles, como también se lo volveremos a pedir al presidente de la República.

Seguiremos pidiendo Verdad, Justicia , Reconocimiento y Reparación aquí en Francia para los republicanos españoles como lo hacen las asociaciones españolas para las víctimas del franquismo en España. Les aseguramos a todas esas asociaciones nuestra total solidaridad activa para permitir que se acabe con la impunidad de los crímenes del franquismo.

L’année dernière j’ai eu l’honneur d’être le premier porte drapeau depuis 68 ans, ce 25 août 2013 c’est avec beaucoup d’émotion que je transmettrai à Marianne Vasquez notre drapeau de la seconde République espagnole pour qu’elle le porte fièrement sur le parvis de l’Hôtel de Ville lors de la cérémonie officielle. Marianne est la petite fille de Joaquin Vasquez qui était l’un des soldats de la Nueve qui entra dans Paris e 24 août 1944. Je sais l’émotion qui sera la sienne à ce moment où nous penserons très fort à Joaquin son grand-père et à tous les combattants républicains espagnols qui ont lutté en Espagne et en France contre le fascisme à tous ceux morts au combat ou en déportation.

El año pasado tuve el honor de ser el primer abanderado desde hacía 68 años, este 25 de agosto del 2013 es con mucha emoción que transmitiré a Marianne Vasquez nuestra bandera de la II República para que la lleve con orgullo en la esplanada del Ayuntamiento de París durante la ceremonia oficial. Marianne es nieta de Joaquín Vasquez, que fue uno de los soldados de la Nueve que entró en París el 24 de agosto de 1944. Sé lo emocionada que estará en estos momentos en que pensaremos mucho en Joaquín, su abuelo, y en todos los combatientes republicanos españoles que lucharon en España y en Francia contra el fascismo, en todos los que murieron en los combates o en deportación.

Eloi Martínez, abanderado de los republicanos españoles durante la ceremonia de la liberación de París el 25 de agosto de 2013, presidente de la Asociación para el Recuerdo del Exilio Español en Francia (ASEREF, Contacto : 06 62 76 70 31 y 00 33 6 62 76 70 31)

Asociaciones francesas organizadoras : Amigos de los Republicanos Españoles en RP , ASEREF, AY Carmela, MERR-32, MHRE-89.

Asociaciones españolas presentes : AGE-Derechos, Asociación Foro por la Memoria, Fundación Domingo Malagón, Republicanos Cantabria.

París, 25 de agosto de 2013.

Intervention de Marianne Vasquez

Merci Eloi de m’avoir donné l’opportunité de porter ce drapeau
de la 2e République espagnole aujourd’hui.

C’est pour moi une grande fierté, un immense honneur et surtout l’occasion de rendre justice à tous ceux qui sont rentrés dans Paris, il y a 69 ans, à bord de ces fameux Half-tracks portant les noms de Guadalajara, Brunete, Teruel, Ebro, Santander, Guernica…

C’est la 2e année que ce drapeau flotte sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris, il aurait du être porté pour la 69e fois, mais c’est déjà un grand pas de fait pour arriver, nous l’espérons tous, à une reconnaissance officielle nationale pour le rôle qu’ont joué ces valeureux soldats espagnols pour la libération de la France. Mon grand-père, Joaquin Vasquez était l’un d’eux.

Ils sont partis pour le Maroc, le Tchad, l’Angleterre, ils étaient à Sainte-mère l’église ou ils ont crié, avec un certain humour en référence aux camps de concentration, « A la playa ! A la playa ! » avant de débarquer dans la nuit du 31 juillet au 1er août. La division Leclerc était la première troupe française à mettre les pieds en France depuis quatre ans. Avranche, Le Mans, Ecouché, ils ont « foncé comme des diables » comme le disait Raymond Dronne leur capitaine.

C’est le 24 août 1944 que la 9e compagnie de la 2e division blindée du général Leclerc est entrée dans Paris par la porte d’Italie. Le 26 août, la Nueve fut saluée par le Général de Gaulle et reçut les honneurs militaires. Au risque de déplaire à de nombreux soldats français, de Gaulle chargea la Nueve de le couvrir jusqu’à Notre-Dame et avec le Général Leclerc ils furent également protégés par la Nueve dans la cathédrale même.
Le journal Libération publiera le 25 août « ils sont arrivés ! ». Quand la rumeur annonça qu’il s’agissait en fait d’Espagnols, de nombreux compatriotes accoururent. Plus de 4 000 Espagnols engagés dans la résistance intérieure participèrent à l’insurrection parisienne.

Ce régiment de républicains espagnols espérait finir sa lutte antifasciste à Madrid.
Ils ont quitté leur pays en 1939 avec la ferme intention d’y revenir dès sa reconquête. Mais la fin de seconde guerre mondiale ne leur a pas ouvert les portes du retour. Ils ont compris qu’ils ne retrouveraient jamais l’Espagne qu’ils avaient laissée derrière eux. Ils ont vieilli en France, certain
s sont morts avant d’être retournés Espagne.

Je ne peux m’empêcher aujourd’hui de penser à Maria, Stanislas, Eulalia, et Joaquin, mon grand-père, qui, il y a 69 ans, se battait tout près d’ici pour notre liberté. Il a continué son combat jusqu’en Allemagne. Avec des français, ils ont été les premiers à investir le « nid d’aigle » d’Hitler. Il s’est ensuite engagé aux côtés du général Leclerc et a embarqué pour l’Indochine. Il fut l’un des rares de la Nueve à en revenir.

Médaillé, entre autre, de la Croix de guerre avec étoile de bronze, il aurait aujourd’hui
90 ans, je suis fière de lui et je pense qu’en ce moment, ou qu’il soit, il doit être fier de la Nina qui porte
ce drapeau !

« Le travail de mémoire doit être un travail collectif car l’histoire appartient à tous, c’est notre patrimoine ».

Je voudrais remercier tous mes proches qui m’ont soutenue dans mes démarches et recherches, et tout particulièrement mon papa qui m’a aidée, en rassemblant tous ses souvenirs, son vécu, à retracer le chemin qu’à parcouru notre famille.

Merci à toutes les associations Françaises et Espagnoles qui se sont démenées pour que nous puissions être là aujourd’hui.

Merci à Evelyn Mesquida et à tous ceux qui m’ont aidée « para no olvidar » !

Muchas gracias a todos

Intervencion de Marianne Vasquez

Gracias a Eloi por haberme dado la oportunidad de llevar la bandera de la IIa República española hoy.

Es para mí un gran orgullo, un inmenso honor y sobre todo la ocasión de rendir justicia a todos los que entraron en París hace 69 años, a bordo de los famosos vehículos blindados que llevaban nombre Guadalajara, Brunete, Teruel, Ebro, Santander, Guernica…

Es el segundo año en que esta bandera ondea en la esplanada del Ayuntamiento de París, hubiera debido ser llevada por la 69 ava vez, pero es ya un gran paso dado para lograr, lo esperamos todos, un reconocimiento oficial nacional del papel desempeñado por aquellos valientes soldados españoles por la liberación de Francia. Mi abuelo, Joaquín Vasquez era uno de ellos.

Se fueron para Marruecos, el Tchad, Inglaterra, estaban en Sainte-Mère l’Eglise donde gritaron, con cierto humor en relación con los campos de concentración : « A la playa ! A la playa ! » antes de desembarcar en la noche del 31 de julio al 1° de agosto. La división Leclerc fue la primera tropa francesa que pisaba el suelo francés desde hacía cuatro años. Avranche, Le Mans, Ecouché, « arremetieron como demonios » como lo dijo Raymond Dronne su capitán.

Fue el 24 de agosto de 1944 cuando la novena compañía de la segunda división blindada del general Leclerc entró en París por la puerta de Italia. El 26 de agosto, la Nueve fue saludada por el general de Gaulle y recibió los honores militares. Arriesgando no agradar a algunos, de Gaulle encargó a la Nueve que le cubriera hasta Notre-Dame y con el general Leclerc fueron también protegidos por la Nueve en la mismísima catedral.

El periódico Libération publicó el 25 de agosto «¡ Ya llegaron ! ». Cuando el rumor anunció que se trataba en realidad de españoles, acudieron numerosos compatriotas. Más de 4000 españoles comprometidos con la Resistencia interior participaron en la insurrección parisina.

Ese regimiento de republicanos españoles esperaba acabar la lucha antifascista en Madrid.

Dejaron su país en 1939 con la firme intención de volver en cuanto se lograra la reconquista. Pero el final de la segunda guerra mundial no les abrió las puertas del regreso. Comprendieron que no volverían jamás a la España, que habían dejado tras sí. Envejecieron en Francia, algunos murieron antes de volver a España.

No puedo no acordarme hoy de María, de Estanislas, de Eulalia y de Joaquín, mi abuelo, quien, hace 69 años, luchaba muy cerca de aquí por nuestra libertad. Prosiguió su combate hasta en Alemania. Con franceses, fueron los primeros en ocupar el « nido de águila » de Hitler. Después se alistó con el general Leclerc y embarcó para Indochina. Fue uno de los pocos de la Nueve que volvieron.

Condecorado, entre tantas medallas, con la Cruz de guerra con estrella de bronce, hoy tendría noventa años, estoy orgullosa de él y pienso que en estos momentos, donde esté ¡ debe de estar orgulloso de la Niña que lleva esta bandera !

« El trabajo de memoria debe ser un trabajo colectivo ya que la historia pertenece a todos, es nuestro patrimonio ».

Quisiera agradecer a todos los familiares que me sostuvieron en todos los trámites y búsquedas, y particularmente a mi padre quien me ayudó, juntando todos sus recuerdos, sus vivencias, para trazar el camino recorrido por nuestra familia.

Gracias a todas las asociaciones francesas y españolas que se han desvivido para que podamos estar aquí hoy.

¡ Gracias a Evelyn Mesquida y a todos los que me ayudaron « para no olvidar » !

Muchas gracias a todos.

Publié dans Paris 25 Août 2013

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Compte rendu et photos de Rose-Marie Serrano de la commémoration du 25 août 2013

Publié le par ASEREF

Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse
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Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse

Photos de Rose-Marie Serrano militante très active en région parisienne pour la mémoire des républicains espagnols. Un grand merci à Rose-Marie pour son engagement et son aide précieuse

Compte rendu et photos de Rose-Marie Serrano de la commémoration du 25 août 2013

Compte rendu de Rose-Marie Serrano de la commémoration du 25 août 2013

Hommages de la Libération de Paris le 25 août 2013

Cet après-midi, nos associations (Amis des Républicains Espagnols en région parisienne, Ay Carmela, ASEREF, MHRE-89, qui en juillet ont demandé, avec l’appui de nombreuses associations espagnoles et françaises, que l’on mentionnât les républicains espagnols, comme hommage, puisque pour la deuxième fois - non la première comme dit l’association FFREEE dans l’Indépendant du 24 août 2013- le drapeau tricolore de la Deuxième République espagnole serait dans les tribunes) ont rendu hommage sur la place de l’Hôtel de Ville de Paris, avec l’ACER (1) et des représentants de plusieurs associations espagnoles, aux combattants de la Nueve, arrivés le 24 août 1944 avec la deuxième Division Blindée du général Leclerc et entrés les premiers jusqu’à la Mairie de Paris. Jacques Milhas, de Cuba Sí, se joignit à nous avec amitié et fraternité.

D’abord nous prîmes quelques symboliques et amicales photos devant la café « Le Drapeau » et nous allâmes vers les minuscules mais très importantes plaques à la Nueve situées au N° 9 de la place de l’Hôtel de Ville.

Eloi Martínez, président d’ASEREF, notre porte-drapeau en 2012, transmit le Drapeau Tricolore de la II République à Marianne Vasquez, petite-fille de Joaquín Vasquez, combattant de la Nueve, en évoquant l’émotion que cela représentait pour nous tous, qu’une jeune reprît le grand symbole de la République espagnole et le portât avec fierté afin d’honorer tous les vaillants combattants de cette division, dont le courage et l’audace ont été reconnus par leurs chefs français.

Marianne nous fit un discours émouvant devant les plaques à la Nueve, « la colonne Dronne », que nous conclûmes en criant « Vive la République ! », suivi de l’intervention de Pascal Gabay, secrétaire de l’ACER, qui évoqua « nos frères brigadistes » inoubliables, qui arrivèrent en Espagne pour défendre la République, avec tant de détermination et d’acharnement.

Tamara Guerrero Vall, présidente de MERR-32, n’ayant pu nous rejoindre en raison du décès de sa mère, à son grand regret, et au nôtre, nous lui transmettons nos condoléances et notre salut fraternel.

Mari Sol González, déléguée d’ AGE Cantabria, évoqua les grandes luttes menées là-bas pour honorer les guérilleros, en particulier avec le guérillero Jesús de Cos Borbolla, qui nous accompagna en 2012 avec grand enthousiasme et dont nous nous souvenons avec amitié et nostalgie en raison de son absence.

Maria Amparo Sánchez- Monroy évoqua aussi, comme déléguée d’ AGE en France, la non-réparation et la non-reconnaissance envers les guérilleros, reconnus du point de vue « moral » mais non dans les faits, car ils sont toujours en Espagne, pour une grande partie de la population, des « bandits ». Cela rappelle le titre du passionnant livre « Ni bandits, ni vaincus, mémoires d’une geste héroïque, la guérilla antifranquiste en Cantabrie », dont nous fit cadeau l’an dernier Jesús de Cos.

Arrivèrent ensuite et intervinrent aussi Javier Moreno, président de l’Association Foro por la Memoria (Forum pour la Mémoire), qui souhaita que les Espagnols « soient libérés du franquisme » et qui exprima sa joie de voir que nous honorons les républicains espagnols en France, et Javier Ruiz Rico, secrétaire de la Fondation Domingo Malagón, qui souligna que notre hommage et celui de la Mairie de Paris constituent « une reconnaissance aux Espagnols qui participèrent à la Résistance au nazisme et qui aidèrent à la Libération de Paris et de tout le territoire français occupé, qui ne se fait pas dans leur patrie ; les gouvernements qui suivirent la mort du dictateur n’ont pas été capables encore de reconnaître leur pari pour la défense des valeurs d’égalité et de démocratie. Simplement pour eux ils n’existent pas et donc, non plus pour l’éducation des jeunes qui étudient dans les écoles et lycées l’histoire contemporaine de l’Espagne et de l’Europe. »

Nous chantâmes entre autres chansons « Ay Carmela », que nous savons tous, avec grand enthousiasme. Les aînées, Enriqueta et Julia, déposèrent de superbes fleurs tricolores sous les plaques et nous fîmes des photos avec tous les drapeaux des associations, avec les amis venus de loin et avec Julia, Enriqueta, Sylvia, Elsa, Michel, Félix, Jacques Milhas, Christina, Palmyre, Olivier, Enrique, notre porte-drapeau de París, toujours courageux malgré la pluie.

Nous partîmes vers les cérémonies officielles, sous une pluie tenace, qui découragea certains, qui nous obligea à nous cacher sous des parapluies. L’année prochaine nous en apporterons des tricolores (rouges, jaunes et mauves) afin de nous réjouir, si le soleil refuse de briller.

Ce furent, comme toujours, (j’y assiste pour ma part depuis 2010, année où je constatai avec stupéfaction l’absence totale de drapeaux républicains espagnols) des cérémonies très émouvantes et cette année, si on y a assisté en 2010 et en 2011 (comme un groupe de la région parisienne nous y étions - avec l’écrivain Enriqueta de la Cruz et Julián Vadillo, en vacances alors à Paris – avec un drapeau tricolore en 2011 mais dehors, car nous n’avions pas d’invitations, drapeau que l’on nous ordonna de baisser de façon péremptoire), surprenantes puisqu’ aujourd’hui il y en avait cinq : deux (ou trois) de la II République espagnole et deux (ou trois) d’associations diverses :

Marianne Vasquez, selon notre décision commune, portait le drapeau Tricolore au nom de toutes les associations signataires de la lettre au Maire de Paris, qui lui sont reconnaissantes de la présence de notre cher étendard et lui demandèrent aussi quelques mots de reconnaissance.

On ne mentionna que « le Régiment du Tchad » (dans lequel luttèrent tant de républicains espagnols), le général Leclerc, la Deuxième Division Blindée en Normandie, Alençon, Paris, Strasbourg. Selon les amis de l’ACER il était logique que l’on ne mentionnât pas la Nueve puisque le thème était le Conseil National de la Résistance et le changement de nom de la Place, qui est devenue « Place de la Libération », changement fort judicieux.

A part notre porte-drapeau de la République, la Tricolor étant acceptée encore cette année comme l’an dernier (où l’on nous précisa que l’on n’accepterait « que le drapeau de la II République »), accompagnée avec grande fraternité par le porte-drapeau de l’ACER-AVER (Pascal Gabay, qui vint avec des renforts de l’association), se trouvaient Joan Fabra, du Mémorial des Républicains espagnols de la base sous-marine de Bordeaux, qui portait aussi un drapeau tricolore, José Gonzalez d’ AGEF-FFI, portant le drapeau de son association, comme de l’autre côté des tribunes se trouvaient H. Farreny, portant le drapeau d’AGEF-FFI, comme l’an dernier ou (on ne voyait pas bien depuis l’ouest de la Place) un troisième drapeau tricolore et Rosy Godet, présidente de FFREEE, portant celui de son association. C’est-à-dire que si l’on compare avec la situation de 2010 et de 2011, la situation actuelle des symboles de la lutte des guérilleros en France, de l’exil et de l’étendard de la II République est presque parfaite à Paris, à moins que ne s’ajoutent quelques drapeaux de plus d’autres associations mémorielles à l’avenir, ce que beaucoup approuveront.

Selon moi, le drapeau de la République résume tous les autres puisque les guérilleros, les déportés, les résistants, et même les libertaires, étaient, pensons-nous, républicains dans la mesure où ils souffrirent les persécutions dues à leur appui au Front Populaire ou des luttes de 1934, mais on peut concevoir le besoin de la présence de tous les drapeaux, comme sont présents ceux de nombreuses associations, de déportés (celui porté par Madame Claude Berducad, porte-drapeau de la Fédération Nationale de Déportés, Internés Résistants et Patriotes), celui porté par Katy Giraud, porte-drapeau des familles de fusillés assassinés dans le Calaisis, un porte-drapeau des combattants en Algérie, beaucoup d’autres.

Nous déplorons que cette année, par contre, Monsieur le Maire de Paris ne parlât point, qu’on ne nous laissât pas entrer avec des pins et des écharpes tricolores (mais que nous remîmes le contrôle passé).

Nous admirâmes les défilés et les régiments nommés, les généraux, les uniformes, les chants émouvants, comme « le Chant des Partisans », chanté avec grand talent par le Chœur Universitaire de Caen.

On souligna l’importance de la Journée Nationale de la Résistance, de celle de la Déportation, de la Commémoration de l’Appel du 18 Juin, comme nous souhaiterions tant qu’il y eût, par exemple, en Espagne, un Jour Officiel des Victimes du franquisme-fascisme. Cet ensemble mémoriel permet en France de « ne pas oublier les pages les plus douloureuses de notre histoire ».

En Espagne, cet ensemble n’existe pas et cela est visible dans les réactions des espagnols. Dans le métro, après avoir bavardé amicalement avec les amis français et espagnols (les deux amis appelés Javier), je me suis retrouvée au milieu d’un groupe de touristes espagnols et je leur ai demandé s’ils venaient des cérémonies de la Libération, où intervinrent des républicains espagnols. L’un d’entre eux me répondit que non, et que cela, « c’était du passé ». Je lui parlai de mémoire mais cela ne les intéressait pas, ils regardèrent ailleurs et moi aussi. Cela ne m’étonne pas car ils devaient avoir dans les soixante à soixante-dix ans, l’âge de la génération née avec le franquisme, l’idéologie de l’oubli.

Par contre, ici, le jeune Lukas Graziani, lauréat du Prix de la Résistance, dit que « quatre années d’occupation provoquèrent 78000 morts parmi les résistants et qu’il fallait avoir une pensée pour tous les disparus, comme le dit Jean Vico : « Le nazisme a pu broyer vos vies, mais de votre combat, Résistants, a jailli l’Europe de l’espoir, les valeurs et l’esprit de la Résistance sont éternels et universels ».

Comme l’espèrent les amis de Madrid, de Cantabrie, de Santander, c’est ce que nous espérons pour l’Espagne, la reconnaissance véritable pour les combattants de la démocratie, de la liberté et du progrès social, ce que furent « nos chers républicains espagnols » (titre du livre d’André de Mingo).

Je joins les interventions remarquables d’Eloi Martínez et de Marianne Vasquez, en attendant que les autres amis envoient les leurs ou les liens de leurs sites pour que nous puissions aussi les lire, car elles le méritent toutes par leur enthousiasme et leur rigueur.

Nous les remercions tous de leur participation par cette belle (bien que pluvieuse) et émouvante journée parisienne.

Vive la République !

¡ Viva la Tercera !

Rose-Marie Serrano (Amis des Républicains espagnols en région parisienne)

  1. Abréviations : ACER : Amicale des Combattants en Espagne Républicaine ; ASEREF : Association pour le Souvenir de l’Exil Républicain Espagnol en France ; MERR-32 : Mémoire de l’ Espagne Républicaine y Résistante du Gers ; MHRE-89 : Mémoire et Histoire des Républicains Espagnols de l’Yonne ; AGE : Archives, Guerre y Exil.

Publié dans Paris 25 Août 2013

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Cérémonie libération de Paris: le chant des marais (vidéo)

Publié le par ASEREF

Publié dans Paris 25 Août 2013

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Le drapeau de la République espagnole flottera à nouveau cette année à Paris le 25 août

Publié le par ASEREF

Monsieur le Maire,

En août 2012, les membres de notre association composée de Républicains espagnols, leurs descendants et amis avons eu la grande satisfaction d’assister à la commémoration de la Libération de Paris avec le drapeau de la Seconde République espagnole, ainsi que celui de l’ACER.

Nous sommes extrêmement touchés que cette initiative soit définitivement acquise et donc renouvelée cette année.

Les descendants de l’Exil espagnol et leurs amis seraient particulièrement sensibles d’entendre évoquer le rôle joué par les Républicains espagnols dans la Libération de Paris. Ce rappel historique serait un acte officiel de reconnaissance à l’égard des Républicains espagnols, premiers combattants antifascistes, qui luttèrent vaillamment avec les mouvements de Résistance français sur tous les fronts dont celui de la capitale.

Cette année, nous avons reçu le soutien d’un grand nombre d’associations, notamment des associations mémorielles de l’exil espagnol dont vous trouverez les noms en signature.

Enfin, nous espérons la présence parmi nous des Républicains espagnols âgés de plus de 90 ans. Pourrait-on les recevoir dans les tribunes d’honneur, s’ils le souhaitaient, accompagnés de ceux qui veilleraient sur eux ? Ou bien serait-il possible que les membres de nos associations ne soient pas séparés ?

En vous remerciant, par avance de l'attention que vous porterez à notre requête, veuillez agréer, Monsieur le Maire de Paris, nos salutations respectueuses.

Sylvia Martínez, Rose-Marie Serrano

(Amis des Républicains Espagnols de région parisienne)

Amicale de La Résistance Espagnole en Haute Savoie (Annecy, Président Miguel Vera)

Amicale des Anciens FTP-MOI des Bataillons Carmagnole-Liberté. (Président Léon Landini, Officier de la Légion d'Honneur - Médaille de la Résistance - Interné de la Résistance - Grand Mutilé de Guerre - Membre du Comité d'Honneur de Musée de la Résistance Nationale : « Parmi les combattants de ces unités il y avait de nombreux républicains espagnols qui se conduisirent héroïquement »)

Amicale Nationale de Mauthausen - déportés, familles et amis (Paris, président Daniel Simon)

Association pour le Souvenir de l’Exil Espagnol en France (ASEREF, président Eloi Martinez, porte-drapeau de la II République espagnole en 2012)

Association Gilberto Bosques (Paris, G. Moreno)

Ay Carmela (Bordeaux, président José Garcia)

Comité d’Hommage aux Combattants de la République Espagnole (Nîmes, Elie Rubio)

Cuba Sí France (Paris, président Jacques Milhas)

IRIS-Mémoires d'Espagne (Toulouse, président Domingo Fernández)

Memoria Andando de Decazeville (Decazeville, Président Jean Vaz)

Mémoire de l'Espagne Républicaine du Lot et Garonne (MER 47, Président : Alain Miranda)

Mémoire et Histoire des Républicains Espagnols (MHRE89, président Manuel Sanz)

Résistance (Collectif de membres du Parti Communiste Français, fédération du Nord, section de Lille)

Solidaridad sin Fronteras (Paris, présidents Concha Jaroslawski et José Rojas)

Terre de Mémoire(s) et de luttes (Oloron Sainte-Marie, Président Raymond Villalba)

Texto en castellano :

Excelentísimo Señor Alcalde de París,

En agosto del 2012, los miembros de nuestra asociación compuesta de Republicanos españoles, de sus descendientes y amigos, tuvimos la gran satisfacción de asistir a la conmemoración de la Liberación de París con la bandera de la Segunda República española, y con la de ACER.

Le estamos muy agradecidos de reanudar con esta excelente iniciativa este año y de que sea definitiva cada año.

Los descendientes del Exilio espagnol y sus amigos estarían particularmente satisfechos de oír evocar el papel desempeñado por los Republicanos españoles en la Liberación de París. Esta evocación histórica sería un acto oficial de reconocimiento hacia los Republicanos españoles, primeros combatientes antifascistas, que lucharon valientemente con los movimientos de Resistencia franceses en todos los frentes, entre ellos el de la capital.

Este año hemos recibido el apoyo de un número mayor de asociaciones, entre ellas de asociaciones de la Memoria del exilio español en Francia, de asociaciones españolas e internacionales, cuyos nombres encontrará en las firmas.

Por fin, esperamos que nos acompañen Republicanos españoles de más de 90 años. ¿ Podrían ser acogidos, si lo desearan, en las tribunas de honor, acompañados de quienes cuiden de ellos ? ¿ O tal vez podrían estar todos juntos los miembros de nuestras asociaciones ?

Agradeciéndole de antemano su solícita respuesta a nuestro pedido, le saludan atentamente,

Sylvia MARTINEZ, Rose-Marie SERRANO (Amigos de los Republicanos Españoles de región parisina)

Associations espagnoles et internationales :

Asociación Amical de Mauthausen y otros campos y de todas las víctimas del nazismo de España (Barcelona)

Asociación Archivo Guerra y Exilio (Madrid, Dolores Cabra)

Asociación de Amigos de las Brigadas Internacionales (Madrid, presidente Severiano Montero)

Asociación de hijos y nietos del exilio republicano (Barcelona, Sonia Subirats)

Asociación de Represaliados Políticos por el Franquismo en el País Valenciano (AREF-PV, Presidenta AREF-PV María Luisa García Muñoz)

Asociación de Víctimas del Franquismo 17 de Noviembre de 1939 (Orihuela, Amparo Pérez)

Asociación Foro por la Memoria (Presidente Francisco Javier Moreno)

Asociación Independiente La Memoria Viva de Palma de Mallorca (Illes Balears, Pedro Romero de Castilla Ramos)

Asociación LA COMUNA, presos y represaliados del franquismo (Madrid, Raúl Herrero).

Asociación Memorial Campo de Concentración de Castuera (AMECADEC, Guillermo León Cáceres)

Asociación para la Recuperación de la Memoria Histórica de Extremadura (ARMHEX)

Asociación para la Recuperación de la Memoria Histórica "19 Mujeres" de Guillena (Sevilla, Lucía Sócam)

Asociación Unidad Cívica por la República : José María Coronas Salcedo ( coordinador UCR) « Nos sumamos a vuestra propuesta al Alcalde de París para que recuerde la heroica participación de los Republicanos Españoles en la Liberación de París » (« Nous nous joignons à votre proposition au Maire de Paris pour qu’il rappelle l’héroïque participation des Républicains Espagnols dans la Libération de Paris »)

Asociación Viguesa pola Memoria Hª do 36.

Associació per la Recuperació de la Memòria Històrica de l'Exili Republicà (ARMHER, Enrique Urraca de Diego, Barcelona)

Associació pro Memoria als Immolats per la Llibertat a Catalunya (Barcelona, Pere Fortuny Velázquez)

Ateneo Republicano NAZARIO GONZÁLEZ MONTEAGUDO de Elche

Ateneo Socio-Cultural VIENTO DEL PUEBLO- (Orihuela, Ginés Saura Fernández)

Círculo Republicano Galán y García de Jaca (José Domínguez Solán).

Col.lectiu Republicà Baix Llobregat

Comisión pola Recuperación da Memoria Histórica da Coruña (Rubén Afonso Lobato, secretario da CRMH da Coruña)

Familiares de Víctimas de los Fusilamientos Franquistas en Madrid

Federación Asturiana Memoria y Republica (FAMYR)

Federación Estatal de Foros por la Memoria (à travers toute l’Espagne)

Fundación DOMINGO MALAGON (Secretario Javier Ruiz Rico)

Víctimas del fascismo de la Torre de Esteban Hambrán (Manuel Serrano Maroto, Toledo)

Otras firmas/ Autres signatures :

-Barreiro López de Gamarra Maria José (nieta y sobrina de fusilados/ petite-fille et nièce de fusillés)

-“Búscame en el ciclo de la vida”, blog de Maria Torres y Gabino Alonso.

-Fernández Díaz Victoria, autor de /auteur de “El exilio de los marinos republicanos”.

-Fernández Martínez David, hijo de Marino Republicano, de famillia represaliada por el franquismo (fils de marin républicain, de famille victime du franquisme).

-Grau i Gatell Jordi. (L’Eliana, València, http://memoriarepressiofranquista.blogspot.com.es/)

-Sánchez Del Valle Ángel Miguel (Madrid)

Firmas de apoyo y agradecimiento al Sr Alcalde hasta el 9 de julio : rosemarie.serrano9@gmail.com

Adhésions de soutien et de remerciement à Monsieur le Maire jusqu’au 9 juillet : rosemarie.serrano9@gmail.com

Le drapeau de la République espagnole flottera à nouveau cette année à Paris le 25 août
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